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mardi 5 mai 2015

Citations en vrac


  • Il faut bien comprendre que ce que nous faisons demande une énorme concentration. Les Sex Pistols étaient abominables sur scène. Pas du tout professionnels, nuls ! Après un de leurs concerts, Johnny Rotten est venu me voir. "Qu'est-ce-que t'en penses ?" il me demande. Et je lui ai répondu : "Les mecs, je trouve que vous puez". Il m'a dit : "parce que vous, vous puez pas ?". (Johnny Ramone, 1979) 
  • Pendant que j'enregistrais "Berlin", ma femme était un trou du cul, mais j'avais besoin d'une femme dans les environs pour me fouetter, et je la cognais, elle était impeccable dans son genre... Elle appelait ça de l'amour, ha ! ha ! Pendant que nous étions en studio, elle a essayé de se suicider dans la baignoire de notre hôtel... elle s'était tranché les veines... évidemment, elle s'en est sortie. Mais à partir de ce moment-là, on a dû laisser un roadie avec elle pour la surveiller. Et c'est marrant, mais une de mes copines lui avait dit : "Ecoute, si tu veux te suicider pour de bon, coupe-toi les veines dans ce sens-là et pas dans celui-ci !". Remarquez bien que je connais une rock-star dont  la femme s'est suicidée pendant l'enregistrement d'un album, ce sont des trucs qui arrivent... (Lou Reed, propos recueillis par Philippe Manoeuvre à l'Essex House, New York, en avril 1978.)
  • Quand nous avons joué à Los Angeles, les féministes américaines ont fait une manif devant le club où nous nous produisions. Elles trouvaient nos chansons abominablement sexistes. Alors, nous, en arrivant, nous sommes sortis de notre bus, et nous en avons kidnappé une, qui se tenait un peu à l'écart. Mais elle s'est mise à hurler et à rameuter ses copines... Et nous nous sommes retrouvés à trois contre deux cent filles en folie qui nous matraquaient à coup de pancartes... Je dois dire que j'ai été assommé en moins de deux...Philippe Manoeuvre : Mais, heu... Si votre kidnapping avait réussi, qu'auriez-vous, heu...- Ben on l'aurait violée tiens, ha ! ha ! ha ! (Jean-Jacques Burnel, The Stranglers, 1978)
  • J'ai vécu de drôles de trips. A une époque, j'allais au pénitentier de Santa Monica, je passais mon temps au parloir, avec les détenus. On causait. J'vais vous donner un p'tit conseil : n'en faites jamais autant. Car quand ces mecs-là sortent, ils viennent immédiatement chez vous. Et les ennuis commencent. (Eric Burdon, The Animals, 1978)
  • Pierre Benain : Tu sais que Mick Jagger te hait ?Johnny Rotten : Ah ! ah ! Très drôle ! Bien sûr qu'il me hait ! Il me méprise. Et c'est ma grande victoire. Ça me réjouit vraiment. En fait, je lui rends vraiment la vie difficile, lui tout son blé et son train de vie à la con... Et un petit rat comme moi lui empoisonne l'existence. C'est amusant, non ? (1978)
  • En rentrant de voir les Stooges, une fois, je suis monté sur scène avec un groupe, juste pour la rigolade. Je commence à chanter, je plonge dans la foule et j'atterris sur le ventre. Le pied de micro me tombe sur la tête, ça se met à saigner, j'en ai plein la figure, mais je me rends pas compte, tellement je suis bourré. Je dessine des swastikas sur les murs avec mon sang, j'en barbouille les filles du premier rang, jusqu'à ce que l'ambulance vienne m'embarquer pour l'hôpital. Tout le monde me dit que c'était super. (Stiv Bators, The Dead Boys,  1978)
  • Michael Jackson a été génial, car voilà un homme noir qui est devenu une femme blanche. Il faut le faire, hein ? (Karl Lagerfeld)

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