Social Icons

Pages

dimanche 15 février 2015

Citations de Johnny Hallyday



  • Je ne suis jamais seul, à moins que je lis.
  • J’ai des goûts très ecclésiastiques. 
  • Remettre les pendules à leur place. 
  • Tout homme a le devoir absolu de tromper de temps en temps sa femme, ne serait-ce que pour lui prouver qu'il l'aime tellement qu'il revient vers elle. Aucun mec ne peut baiser que sa femme. (dans son livre La Terre Promise, Fayard)
  • Les attentats m'ont rendu malade. Si je n'étais pas chanteur, je prendrais une arme et j'irais combattre. (Le Parisien, 22/11/2015)
  • Le problème, c'est que, à force de faire des villes différentes tous les jours, je finis par oublier leurs noms.
  • La musique, j'en fais, alors j'en écoute peu.
  • Je suis souvent seul dans la vie, mais sur scène jamais... Ma drogue à moi, c'est le public.
  • Je me méfie des gens trop heureux : ils doivent avoir des choses à cacher.
  • Ce qui rend heureux, c'est d'être heureux.
  • La retraite... quel mot terrifiant ! 
  • C'est Jésus-Christ, le premier héros de ma jeunesse. Il arrivait à attirer les foules ! 
  • Je suis très ami et je serai ami toute ma vie avec Nicolas Sarkozy, parce que je le connais depuis très longtemps, et c'est lui qui m'a marié avec Laeticia.
  • À 14 ans et demi, je vendais France-Soir à la criée. Ça me payait mon entrée au Golf, mes consos... La journée, je traînais aux Galeries Lafayette pour voler des disques. Je n'allais pas à l'école, mais j'avais un gros cartable... vide. Qui était rempli en ressortant du magasin ! (Télérama, 2014).
  • Mon père était alcoolique, séducteur, incontrôlable... Chaque fois qu'il avait un boulot, il le perdait. De lui, je n'ai connu que les pires aspects. L'abandon petit, puis les factures ou les frais d'hôpitaux à régler, la déchéance. On le trouvait ivre mort, écroulé au milieu de la rue (Télérama, 2014).
  • Bob Dylan est un drôle de gars. Un artiste et un poète génial, mais bizarre. En 1966, je vivais à Neuilly. Dylan passait à l'Olympia et logeait au George V. En coulisse, il me dit que trop de gens l'emmerdent à l'hôtel et me demande s'il peut habiter chez moi. Et le voilà qui débarque avec, sous le bras, sa discographie complète. Il n'a fait que ça : écouter ses propres disques. Toutes les nuits. Quand je me levais, il allait se coucher. Le soir, il partait chanter à l'Olympia. Puis il rentrait et se mettait à réécouter ses disques. Un matin, je me suis levé, il n'était plus là, disparu sans dire merci, et je ne l'ai plus revu (Télérama, 2014).
  • La soul, c'est l'interprétation, exprimer et faire ressentir une émotion. Comme James Brown, Otis Redding ou Ray Charles. Je ne sais pas pourquoi je chante de telle ou telle façon, mais je chante ce que je ressens. Ça s'entend, c'est tout. Je ne peux l'expliquer. C'est ça, la soul (Télérama, 2014).
  • Dans les années 70, Jacques Brel avait ce petit avion avec lequel il venait me chercher quand j'étais en tournée. À 9 heures du matin, autant dire l'aube pour un couche-tard comme moi, il me réveillait pour m'emmener déjeuner puis me ramenait au spectacle, attendait la fin pour m'embarquer à nouveau, cette fois dans un bordel. Il ne touchait jamais aux filles, mais, dans tous les bordels de France, les filles connaissaient bien Jacques. Il leur offrait le champagne, buvait avec elles. Ensuite, de retour à l'hôtel, on sifflait des bières. Jusqu'à ce que, écroulé de fatigue, j'aille me coucher. Mais, dès 9 heures du mat, le téléphone sonnait de nouveau et je l'entendais hurler : « T'es levé ? Allez, on décolle ! » Et c'était reparti... Au bout d'une semaine, j'étais lessivé. Mais lui tenait le coup (Télérama, 2014).
  • Un chanteur de rock ou de blues est comme un boxeur. Il fait ça parce qu'il vient de nulle part et qu'il a faim. Littéralement. C'est vrai à ses débuts et ça doit le rester. On ne peut pas tout donner, être vraiment bon le ventre plein. Je ne comprends pas les musiciens qui dînent avant d'entrer en scène. Comme Sardou. Mais lui, c'est facile, il ne transpire pas. Il sort de scène comme il est entré : pas une goutte de sueur ! (Télérama, 2014).
  • Le rock, c'est de l'inconscience, de la défiance. Et même arrivé, installé comme je le suis aujourd'hui, c'est toujours un combat (Télérama, 2014).
  • J'ai beaucoup écouté pour apprendre, j'ai beaucoup appris par la vie, mais pas par l'école.
  • La scène, les coulisses, c'est ma vie depuis que je suis enfant. À huit ans, je voyais passer des filles nues devant moi dans les cabarets, je trouvais ça normal. 
  • J'envoie les sentiments dans la gueule des gens, dans leur cerveau, dans leur corps.
  • Je serais incapable de vivre avec une imbécile. Parce que l'amour et la beauté, c'est bien, mais au bout d'un moment, il faut parler... 
  • Je crois qu'il ne faut pas penser à vieillir, ou à l'âge. On a l'âge qu'on a. Il y a des gens jeunes qui sont déjà vieux. Il y a des gens plus âgés qui sont encore jeunes. Ça ne veut rien dire.
ard)
Toutes les citations de Johnny Hallyday.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

 

Sample text

Sample Text

Sample Text

 
Blogger Templates