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Citations musicales : Nouveautés du 07 août 2017
- Il y a un peu de magie en tout et des pertes pour compenser
(Lou Reed).
- Si les chansons de Boris Vian n'existaient pas, il nous
manquerait quelque chose. Elles contiennent ce je-ne-sais-quoi d'irremplaçable
qui fait l'intérêt et l'opportunité d'une œuvre artistique. Un temps viendra, comme dit l'autre, où les chiens auront
besoin de leur queue et tous les publics des chansons de Boris Vian (Georges
Brassens, 1955).
- Je serai morte, et on aura tant dit de moi que personne ne
saura plus vraiment qui j'ai été. Cela
n'a pas d'importance, me direz-vous ? C'est vrai. Mais c'est une idée
qui me blesse (Édith Piaf).
- Elle dépasse ses chansons. Elle en dépasse la musique et les
paroles. Elle nous dépasse. L'âme de la rue pénètre dans toutes les chambres de
la ville. Ce n'est plus Mme Edith Piaf qui chante : c'est la pluie qui tombe,
c'est le vent qui souffle, c'est le clair de lune qui met sa nappe (Jean Cocteau).
- Elle avait besoin d'amour : elle ne chantait bien qu'exaltée
ou brisée (Yves Montand à propos de Piaf).
- C’est un cas unique, petit phénomène à tripes d'acier. Minuscule
splendeur professionnelle (Maurice Chevalier à propos de Piaf).
- Paresse ne veut pas dire ne pas travailler, mais rechercher
la qualité de ce que l'on fait et ne pas vendre son temps, ce qui est la pire
des abominations. La paresse, pour moi, c'est offrir son temps à la création, au plaisir, au
mieux-être (Georges Moustaki).
- Il faut montrer aux maisons de disques qu’un artiste peut
aussi bien exister sans disque, sans matraquage radio ou magazines à la mode.
Il suffit simplement de proposer quelque chose d'humain aux gens, qui sorte du
cadre du show business (William Sheller).
- Les gens ne savent pas qu’ils ont le choix. Ce qui me rend enragée, c'est de savoir qu’il
y a tout un public potentiel qui apprécierait s’il avait la chance de connaître
(Anne Sylvestre).
- Je suis une chanteuse d’intimité, avec une petite voix qui a
besoin d’être vue de près pour être comprise (Jane Birkin).
- Je n’ai d’autre ambition que de ne pas vieillir comme je
l’ai vu faire par tant d’hommes que je croyais admirables (Maurice Chevalier).
- Prenez un garçon de trente ans, doué pour la peinture, la
musique, la chanson, enfin doué pour la vie, quoi ; mettez-le dans une pièce,
avec un piano et un stylo, laissez-le tourner,
chercher, laissez-le brûler, laissez-le faire, faire son trou, son p'tit
trou qui deviendra grand dans le monde de la chanson. Et puis, quand vous
l'aurez laissé chanter, laissé frémir,
laissé brûler devant vous ...
Vous le ferez revenir ! (Boris Vian à propos de Serge Gainsbourg aux 3
Baudets en 1958).
- Si j'avais mesuré un mètre vingt et pesé cent kilos, je
n'aurais sûrement pas fait la même carrière (Françoise Hardy).
- Nous l’avons subi plus d’un mois dans l’Agression. Il est insupportable. Je n’ai jamais rencontré un type
aussi mégalomane. Dans l’hôtel où nous étions, il avait confisqué tous les
disques pour que l’on entende seulement les siens. Il faisait cela sans humour
(Jean-Louis Trintignant à propos de Robert Charlebois, 1977).
- Aznavour est le seul homme que je connaisse capable de
rentrer debout dans une Rolls (Jacques Brel).
- Les Anglais ne s'intéressent pas à la musique, mais ils
aiment le bruit qu'elle fait (Thomas Beecham).
- Vos opinions sur la musique contemporaine, je vous conseille
de les utiliser en suppositoires (Michel Audiard).
- Le reggae c’est comme des Noirs ordinaires, sauf qu’ils sont
vachement mieux coiffés (Coluche).
- Qu’est-ce que tu
penses de Bruce Springsteen ? Il me fait l’effet d’un mec qui se
défonce à rien. C’est les pires (Coluche).
- Depuis que j’ai vu les Rolling Stones à la télé, je me suis
remis à aimer les vieux (Coluche).
- Serge Gainsbourg c’est toujours métro-goulot-dodo ! (Coluche).
- Le Pape a fait quarante mille personnes de moins au Bourget
que Bob Marley. Et le pape, c’était gratuit (Coluche).
- Beethoven était si sourd que quand il écrivait de la musique
il croyait faire de la peinture (François Cavanna).
- Un chef d'orchestre a son utilité. C'est quand il arrête de
remuer les bras que les sourds savent qu'ils peuvent applaudir (Philippe Geluck).
- Beaucoup de chanteurs chantent des histoires de cocus sur
Haute-Fidélité (Frédéric Dard, Les mots en épingle de San Antonio par Françoise Dard, 1980).
- Tout finit par des chansons (Pierre-Augustin Caron de
Beaumarchais, Le mariage de Figaro,
1784).
- Avant Charles Aznavour le désespoir était impopulaire (Jean
Cocteau).
- La politique peut être renforcée par la musique, mais la
musique a une puissance qui défie la politique (Nelson Mandela).
- Quand il ne chante pas il cause. Et quand il ne cause
pas, il écrit (Thierry Séchan à propos
de Renaud).
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